Meet Me Next Christmas (Le Rendez-vous de Noël) ⭐️

Décidée à vivre un conte de fées, Layla doit se dépêcher de traverser New York avec l’aide du beau et sympathique employé d’une conciergerie afin de mettre la main sur un billet pour un spectacle à ne manquer sous aucun prétexte : celui du concert du réveillon de Pentatonix qui joue à guichets fermés.
Je n’aime déjà pas Pentatonix et leurs voix trafiquées, mais je crois que là, c’est le pompon, ce film ne les rend même pas sympathiques. Meet Me Next Christmas n’a aucun intérêt, je me demande même quel genre de scénariste hollywoodien bas de gamme peut pondre une histoire à dormir debout telle que celle-ci. Je suis dans l’incompréhension la plus totale !
La fin reste cependant mignonne, donc, dans ma grande bonté, je mets une étoile.

Hot Frosty (Mon bel homme de neige) ⭐️⭐️⭐️⭐️

Deux ans après avoir perdu son mari, Cathy donne magiquement vie à un beau bonhomme de neige ! À travers sa naïveté, le bonhomme de neige aide Cathy à rire, ressentir et aimer à nouveau, alors que les deux tombent amoureux juste à temps pour les vacances… et avant qu’il ne fonde.
Assurément mon film de Noël préféré de 2025 (même si objectivement, on est à mille lieues du chef-d’œuvre). Netflix est très fort pour placer des petits Easter eggs sympathiques dans ses téléfilms, celui-ci ne fait pas exception et on apprécie. Finalement, ce film est la preuve que parfois, lorsqu’ils sont bien écrits et bien mis en scène, les scénarios improbables peuvent parfois fonctionner. On a ici affaire à un film adorable, parfois très cucul et improbable, mais globalement sympathique et émouvant. 
Je ne sais pas si vous vous souvenez, mais Hot Frosty m’a fait penser à un ancien film Netflix sorti en 2019, The Knight Before Christmas (L’alchimie de Noël) dans lequel Vanessa Hudgens tombe amoureuse d’un chevalier du Moyen Âge qui voyage dans le temps. Oui, je sais, raconte comme ça, ça a l’air nul, mais je vous promets qu’il était tout aussi bien que Hot Frosty !

The Merry Gentlemen 👎🏻

Pour sauver le petit lieu de spectacle de ses parents dans une ville de province, une ancienne danseuse de la grande ville décide d’organiser une revue de Noël entièrement masculine.
C’est à lui que revient la palme d’or du plus mauvais film de Noël Netflix 2024. Zéro alchimie entre les deux acteurs principaux. Le personnage féminin est insupportable et il est impossible de s’y attacher. Quant à Chad Michael Murray en vieux beau qui fait du strip-tease, il est tout simplement ridicule. Aurait-on pu trouver un acteur avec moins de charisme ? Je ne pense pas. D’ailleurs, il a mon âge et fait 10 ans de plus (que s’est-il passé ?).
Les Easter eggs sont bien présents cependant… au cas où vous vous demanderiez…

Our Little Secret ⭐️⭐️⭐️

Deux anciens amants, qui ne se sont pas séparés en bons termes, sont forcés de passer Noël ensemble après avoir découvert que leurs nouveaux partenaires sont frères et sœurs.
Le contraste de mon écran est mal réglé ou tout le monde porte un fond de teint trop orange dans ce show ? Un film sympathique, mais qui aurait pu mieux faire, certains gags sont définitivement un peu trop lourds. Je pense que tout tient sur les épaules des deux acteurs principaux (Lindsay Lohan et Ian Harding) qui sont excellents, parce que le scénario est trop pauvre pour véritablement divertir. Pour info, il s’agit de Lindsay Lohan pré-lifting magique, c’est dommage, j’ai une fascination (comme le monde entier, je pense) pour ce qui a été fait sur son visage. Rendez-vous donc dans un an pour son glow up et son prochain nanar de Noël !

That Christmas (Ce Noël-là) ⭐️⭐️

That Christmas s’attache à plusieurs récits croisés autour de l’amour et de la solitude, de la famille et des amis, et du Père Noël qui commet une grave erreur, sans oublier une quantité astronomique de dindes !
Un film mignon, très souvent émouvant, mais un peu trop 2024 à mon goût et comme la plupart du temps quand je regarde un animé, je m’ennuie. Celui-ci n’a pas fait exception. J’ai lu qu’il avait été mis en scène par Richard Curtis, aussi réalisateur de Love Actually, que je n’aime pas, ceci explique peut-être cela.