Three Identical Strangers
Je ne vous mets volontairement pas le thème de ce documentaire incroyable, l’affiche parle d’elle-même et je préfère vous laisser le découvrir. Je l’ai trouvé passionnant, touchant et suis certaine qu’il vous plaira autant qu’à moi. Tout ce que je peux vous dire, c’est que c’est peut-être l’occasion de statuer sur la part d’inné et d’acquis dans le fonctionnement de la personnalité… C’est un 10/10 et c’est plutôt rare que je sois autant emballée par un docu de ce genre.
The ripper (Sur la piste de l’éventreur du Yorkshire)
Entre 1975 et 1980, un tueur de femmes (principalement des prostituées) terrifie la ville de Leeds et ses alentours, au Nord de l’Angleterre. Les similitudes avec Jack the Ripper sont frappantes, il est donc surnommé le Yorkshire ripper. Les enquêteurs restent très longtemps impuissants, sans aucune piste. Ils n’ont alors pas les moyens scientifiques comme nous les avons aujourd’hui de trouver le coupable. Puis les indices arrivent au compte-goutte, mais ne sont jamais probants. Je vous laisse regarder ce documentaire pour connaître la suite et si vous adorez le true crime autant que moi, vous ne devriez pas être déçus !
Dawson’s Creek
Dawson Leery est un adolescent de 15 ans qui vit dans la petite ville de Capeside. Il n’a qu’un seul rêve : devenir réalisateur, mais comment poursuivre cet objectif, lorsque les problèmes de son âge et de ses amis, viennent perturber leurs petites existences.
Une série de ma jeunesse que j’ai pris tellement de plaisir à revisionner. La palette d’émotion du spectateur est large et c’est ce que j’aime dans ce show, on passe du rire aux larmes d’un épisode à l’autre, on se prend à aimer et à détester tour à tour les personnages et la nostalgie apporte encore une dimension supplémentaire. Je ne sais pas ce que penserait un jeune de cette série aujourd’hui mais si vous me lisez et regardez/connaissez Dawson’s Creek, que vous avez entre 15 et 25 ans (le public cible j’imagine), je serais curieuse d’avoir votre avis tant moi elle m’a marquée lorsque j’étais ado/jeune adulte.
Lupin
Il y a 25 ans, la vie du jeune Assane Diop est bouleversée lorsque son père meurt après avoir été accusé d’un crime qu’il n’a pas commis. Aujourd’hui, Assane va s’inspirer de son héros, Arsène Lupin – Gentleman Cambrioleur, pour le venger.
Même si l’acting est discutable et toute cette histoire improbable, on a envie d’y croire et ça marche. C’est de la bonne petite série française, gentille, qui fait plaisir, on sent que c’est conçu pour la plèbe, mais je valide complètement. Je pense que ce show plaira au plus grand nombre et personnellement j’ai passé un excellent moment… La saison 1 est désormais entièrement disponible sur Netflix, je vous laisse vous régaler !
Crime Scene: The Vanishing at The Cecil Hotel (Scène de crime : La Disparue du Cecil Hotel)
Un documentaire sur la disparition d’Elisa Lam en 2013 au Cecil Hôtel, en plein cœur de Skid Row à Downtown Los Angeles. Un hôtel bien connu depuis des décennies pour accueillir des sans abris, des repris de justice, de la prostitution et toutes sortes de trafics de drogue. Depuis les années 30, beaucoup de morts sont liées à cet hôtel (overdoses, meurtres, suicides) et de disparitions suspectes comme celle d’Elisa Lam. Dans ce docu, on en apprend pas mal sur la constitution de Skid Row et l’histoire de Downtown Los Angeles. Je trouve l’affaire Elisa Lam fascinante (d’autant qu’elle a lieu à deux pas de chez moi !), j’avais déjà vu des vidéos sur cette histoire, notamment celles de Sonya Lwu et de Victoria Charlton que je vous recommande de visionner après ce documentaire. D’ailleurs n’hésitez pas à me dire en commentaires ce que vous pensez des conclusions de l’enquête.
Knock Knock
Evan Webber, architecte, est un heureux père de famille. Afin de terminer tranquillement un travail pendant la fête des pères, il laisse sa femme et ses enfants partir à la plage pour le week-end. C’est alors que deux belles jeunes femmes, Genesis et Bel, sonnent à sa porte et s’immiscent dans sa maison puis dans sa vie.
J’ai trouvé ce film par hasard sur Netflix. Il est apparu alors que je faisais une recherche sur la filmographie de John Carpenter (rien à voir donc !). Même si les motifs des 2 personnages féminins restent flous selon moi, je l’ai trouvé hyper prenant, rythmé, juste ce qu’il faut de glauque et d’effrayant, bref une réussite.
Headspace
Si vous rencontrez des difficultés à trouver le sommeil, si vous êtes victimes de réveils nocturnes intempestifs ou si simplement vous souhaitez vous renseigner sur le sujet parce qu’il est passionnant, ce Guide Headspace du sommeil est fait pour vous. Techniques de relaxation, méditations guidées et info diverses sur le sommeil, si vous ne passez pas de bonnes nuits paisibles après ce show, je crois qu’on ne peut plus rien pour vous !
The woman in the Window (La Femme à la fenêtre)
Le docteur Anna Fox est psychologue pour enfants à New York. Agoraphobe, elle ne sort jamais de chez elle. Lorsque la famille Russell emménage dans l’appartement d’en face, elle se met à les espionner. Elle va alors être témoin d’un crime.
Il ne s’agit pas du film de l’année, quelques passages sont un peu cheap, mais il y a de bons rebondissements. Je l’ai trouvé vraiment divertissant, bien joué et finalement assez surprenant.
Spécial (Saison 2)
Ryan est un jeune homme gay atteint de paralysie cérébrale légère. Il decide de réécrire son identité et de prendre son indépendance pour mener sa vie comme il l’entend.
Si vous avez aimé la saison 1 (je vous en parlais ici), qui est passée comme une flèche tant ses épisodes étaient courts, vous apprécierez encore plus cette saison 2 dont ils ont été rallongés pour notre plus grand plaisir. Les personnages et le ton sont justes, le sujet du handicap y est parfaitement abordé et l’emotion au redez-vous. Vraiment cette série est un sans faute pour moi. Je déplore juste que faute d’audience, cette saison soit la dernière…
En revanche j’ai détesté…
Firefly Lane (Toujours là pour toi) 👎🏻👎🏻👎🏻
Tully Hart, est la célèbre animatrice d’un talk show, The Girlfriend Hour. Elle est la meilleure amie de Kate Mularkey, depuis leur 14 ans. Cette dernière, en procédure de divorce, essaie tant bien que mal de concilier sa relation avec sa fille adolescente, Marah, et sa recherche d’emploi. La série suit leur vie, depuis leur adolescence dans les années 1970, leurs débuts dans le monde du travail en tant que jeunes aspirantes journalistes dans les années 1980, jusqu’aux début des années 2000.
J’avais mis cette série dans ma liste parce que j’aime beaucoup Katherine Heigl. Je n’en attendais pas grand-chose pourtant j’ai été déçue, l’histoire n’est pas passionnante et les flashes-back a répétition m’ont lassée. Après 6 épisodes de 40 minutes, j’ai finalement abdiqué, me disant que je ne parviendrai jamais à rentrer dans cette histoire d’amitié un peu trop banale à mon goût.
The Serpent 👎🏻👎🏻👎🏻
La série suit l’histoire du tueur en série Charles Sobhraj et de sa complice Marie-Andrée Leclerc, à Bangkok, au milieu des années 1970. Sous les faux noms d’Alain et Monique Gautier, le couple se fait passer pour des diamantaires et revend des pierres précieuses volées à des touristes qu’ils droguent, volent et tuent afin de leur subtiliser leur passeport et leur argent. Herman Knippenberg, un diplomate néerlandais, commence à enquêter sur les meurtres et découvre des indices menant à Sobhraj.
Certes le parcours de Charles Sobhraj est incroyable, mais il est extrêmement compliqué de survivre aux 2 premiers épisodes tant ils sont soporifiques. C’est laborieux, fade et ça a du mal à être captivant. Le personnage principal (Tahar Rahim) a le charisme d’un moustique, on dirait un acteur débutant et c’est gênant tout au long de la série. D’ailleurs d’autres acteurs ont vraiment l’air amateur comme Mathilde Warnier dans le rôle de Nadine. Que dire de l’actrice qui joue Marie-Andrée/Monique et qui est censée avoir un accent Québécois lorsqu’elle parle français et qui a seulement un accent anglais si épouvantable qu’elle est presque impossible à comprendre sans les sous-titres. Pour finir, les sauts dans le temps n’ajoutent rien d’intéressant à l’histoire, au mieux ils sont inutiles, au pire ils sont confusants, ils coupent chaque fois l’intrigue au moment où elle est à son comble, si bien qu’on décroche. On m’avait dit « tu verras, dès l’épisode 3, ça décolle, c’est intense… ». Non, tout reste chiant de A à Z !
Halston 👎🏻👎🏻👎🏻
La série suit le légendaire créateur de mode, alors qu’il crée un empire mondial de la mode inspiré par un seul nom : son deuxième prénom, synonyme de luxe, de sexe, de statut et de célébrité, définissant l’époque dans laquelle il vit, le New York des années 1970 et 1980. Mais un rachat hostile l’oblige bientôt à se battre pour le contrôle de son bien le plus précieux…le nom Halston lui-même.
Encore une de ces séries longues comme un jour sans pain, bien qu’elle ne compte que 5 épisodes, pénible et pas franchement intéressante. Je ne sais pas si c’est parce que la mode me passionne peu ou si c’est la présence d’Ewan McGregor qui est a l’origine de ce sentiment négatif. Il n’est même pas mauvais dans ce rôle de l’infecte et détestable Halston mais m’irrite tellement physiquement que le personnage a rejoint l’acteur et je n’ai jamais pu rentrer dans l’histoire qui, quoi qu’il en soit, n’était pas folichonne. Finalement tous les grands couturiers n’ont pas une vie suffisamment intéressante pour être adaptée en film/série.
Fear Street Part 1: 1994 👎🏻👎🏻👎🏻
À la suite d’une tragédie brutale à Shadyside, dans l’Ohio, un groupe d’adolescents rencontre accidentellement le mal ancien responsable d’une série de meurtres brutaux qui sévissent dans leur ville depuis plus de 300 ans.
Pour ceux qui ne connaîtraient pas Fear Street, il s’agit d’une série américaine de romans d’horreurs pour adolescents écrite par R.L. Stine (Goosebumps/Chair de Poule, c’était lui aussi !). Les livres ont eu un énorme succès puisque plus de 80 millions d’exemplaires ont été à ce jour vendus à travers le monde. Les romans sont ici adaptés à l’écran sous forme de trilogie. Sachez d’abord que je n’avais pas spécialement d’attentes concernant ce film, je l’ai donc commencé avec la meilleure volonté du monde. Malheureusement j’ai été déçue, j’ai même peur que ce type de film devienne la norme du slasher en 2021. Mauvais, ennuyeux, cheap à tous les niveaux (scénario, réalisation, photographie), Fear Streat reprend les codes des classiques du genre et nous envoie de nombreuses références d’excellents anciens films (Halloween, Friday 13th, Poltergeist, It, Night of the Living Dead, etc…), mais à aucun moment cela ne fonctionne. L’intro du film « hommage à Scream » est navrante et presque honteuse et lance finalement le ton général de ce navet. J’imagine que certains jeunes ado y trouveront leur compte (étant données le nombre de bonnes critiques que j’ai lu à son sujet) et encore… ! Contre toute attente et alors que je ne comptais même pas la regarder, la partie 2, hommage plus ou moins réussi à Friday the 13th, est un cran au-dessus. Mais finalement, est-ce que la seule réussite de ces films ne serait pas la bande son et sa vaine tentative d’ancrer l’histoire dans une époque ?
Hello, toujours à a recherche de choses à regarder sur Netflix (il y en a troooop) ton article va bien m’aider 🙂
Merci !
Belle soirée
Hello Priscillia, ravie qu’il te soit utile. N’hésite pas à me dire s’il y a des séries qui t’ont plu dans ma liste et à partager celles que tu aimes 😉